Une définition simple d’un titre est toute preuve de propriété ou de dette à laquelle on a attribué une valeur et qui peut être vendue. (Aujourd’hui, la preuve de propriété est probablement un fichier informatique, alors qu’autrefois, il s’agissait d’un morceau de papier écrit). Pour le détenteur, un titre représente un investissement en tant que propriétaire, créancier ou droit de propriété sur lequel la personne espère réaliser un profit. Les exemples sont les actions, les obligations et les options.
Le Securities and Exchange Act de 1934 fournit cette définition plus compliquée, mais vous pourriez vouloir prendre une tasse de café : « Le terme « titre » désigne tout billet, action, action de trésorerie, obligation, débenture, certificat d’intérêt ou de participation dans tout accord de partage des bénéfices ou dans toute redevance ou bail pétrolier, gazier ou autre minéral, tout certificat de fiducie accessoire, certificat de préorganisation ou souscription, action transférable, contrat d’investissement, certificat de fiducie de vote, certificat de dépôt, d’un titre, d’une option de vente, d’une option d’achat, d’un straddle, d’une option ou d’un privilège sur un titre, un certificat de dépôt, un groupe ou un indice de titres (y compris tout intérêt dans ceux-ci ou basé sur leur valeur), ou d’une option de vente, d’une option d’achat, d’un straddle, d’une option ou d’un privilège conclu sur une bourse nationale de valeurs mobilières concernant une devise étrangère, ou en général, tout instrument communément appelé « titre » ; ou tout certificat d’intérêt ou de participation, tout certificat temporaire ou intérimaire, tout reçu, tout mandat ou droit de souscription ou d’achat de l’un quelconque de ces instruments, à l’exclusion de la monnaie et de tout billet, traite, lettre de change ou acceptation bancaire dont l’échéance, au moment de l’émission, n’excède pas neuf mois, sans compter les jours de grâce, ou de tout renouvellement de ceux-ci dont l’échéance est également limitée. »